La plateforme des journalistes panafricains inquiète face à la montée des violences contre les journalistes
La plateforme des journalistes panafricains inquiète face à la montée des violences contre les journalistes
À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse 2025, la Plateforme des journalistes panafricains a exprimé sa vive inquiétude mardi 03 mai par un communiqué face à la recrudescence des violences contre les professionnels des médias.
À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse 2025, la Plateforme des journalistes panafricains a exprimé sa vive inquiétude mardi 03 mai par un communiqué face à la recrudescence des violences contre les professionnels des médias.

Selon le bilan de 2024 communiqué par la plateforme, 122 journalistes ont été tués dans le monde, dont 14 femmes. La majorité des décès a été enregistrée au Moyen-Orient, notamment en Palestine. En Afrique, 10 journalistes ont perdu la vie, parmi eux Hanan Adam au Soudan et Albino Sibia au Mozambique.
Le document de la plateforme renseigne que dans l’espace AES (Burkina Faso, Mali, Niger), les atteintes à la liberté de la presse se sont multipliées : arrestations, intimidations et censures, en ajoutant qu'au Niger, plusieurs journalistes ont été interpellés pour avoir enquêté sur des sujets sensibles, notamment liés à la présence militaire étrangère.
S'agissant du Tchad, la plateforme des journalistes panafricains signale qu'en mars 2025, deux journalistes Olivier Monodji et Mahamat Saleh Alhissein ont été arrêtés, illustrant un climat de répression croissante.
Face à toutes ces situations évoquées, les journalistes panafricains rappellent aux autorités africaines à garantir la sécurité des journalistes, respecter leurs droits fondamentaux et mettre fin à l’impunité.
"La liberté de la presse est un pilier de la démocratie. Sa défense est un devoir collectif", clame la plateforme.
Selon le bilan de 2024 communiqué par la plateforme, 122 journalistes ont été tués dans le monde, dont 14 femmes. La majorité des décès a été enregistrée au Moyen-Orient, notamment en Palestine. En Afrique, 10 journalistes ont perdu la vie, parmi eux Hanan Adam au Soudan et Albino Sibia au Mozambique.
Le document de la plateforme renseigne que dans l’espace AES (Burkina Faso, Mali, Niger), les atteintes à la liberté de la presse se sont multipliées : arrestations, intimidations et censures, en ajoutant qu'au Niger, plusieurs journalistes ont été interpellés pour avoir enquêté sur des sujets sensibles, notamment liés à la présence militaire étrangère.
S'agissant du Tchad, la plateforme des journalistes panafricains signale qu'en mars 2025, deux journalistes Olivier Monodji et Mahamat Saleh Alhissein ont été arrêtés, illustrant un climat de répression croissante.
Face à toutes ces situations évoquées, les journalistes panafricains rappellent aux autorités africaines à garantir la sécurité des journalistes, respecter leurs droits fondamentaux et mettre fin à l’impunité.
"La liberté de la presse est un pilier de la démocratie. Sa défense est un devoir collectif", clame la plateforme.