Tao Hamia Ndacknaye s'entretient avec les militants de CPI sur le management politique
Tao Hamia Ndacknaye s'entretient avec les militants de CPI sur le management politique
Dans le cadre de ses activités, le parti convergence du peuple pour l'indépendance intégrale (CPI) a organisé une retraite politique le samedi 12 juillet 2025 dans la sous-préfecture de Koundoul. A cette occasion, le président du parti congrès national pour la République Tao Hamia Ndacknaye a eu la charge de s'entretenir avec les militants de ce nouveau parti sur le management politique.
Dans le cadre de ses activités, le parti convergence du peuple pour l'indépendance intégrale (CPI) a organisé une retraite politique le samedi 12 juillet 2025 dans la sous-préfecture de Koundoul. A cette occasion, le président du parti congrès national pour la République Tao Hamia Ndacknaye a eu la charge de s'entretenir avec les militants de ce nouveau parti sur le management politique.

S'exprimant à l'occasion, Tao Hamia Ndacknaye a indiqué que le management n'est rien d'autre que diriger, organiser, conduire. Ainsi parler de management politique c'est avoir recours plusieurs composantes clés qui permettent d’organiser efficacement l’action politique, que ce soit dans une campagne électorale ou dans l’exercice du pouvoir. Pour lui, réussir à manager une action politique ou un parti politique, il est nécessaire d'avoir une stratégie politique: savoir communiquer autour de la vision qu'incarne le parti, se doter d'une ressource humaine qualitative et quantitative capable de s'adapter à des crises que le parti aura à gérer.
Tao Hamia Ndacknaye a soigneusement pris le temps pour dégager le lien qui existe entre le management et la politique. Selon lui, la politique met en œuvre des programmes, des réformes, des campagnes… comme autant de projets à gérer, or, le management apporte les outils nécessaires à savoir la planification, coordination, suivi, évaluation.
Situant le contexte, il souligne que les dirigeants politiques cherchent à atteindre des résultats mesurables (baisse du chômage, amélioration du système de santé, réduction des inégalités…), tandis que le management avec ses indicateurs de performance, aide à suivre les progrès et à prendre des décisions basées sur des données fiables, a démontré l'exposant.
Toutefois, l'exposant a déconseillé l'assistance sur les mauvais côtés du management politique. Selon lui, il ne suffit pas d'avoir trop d'outils de management politique. Il a cité en exemple: trop de technicité, pas assez de vision humaine; une communication trop contrôlée pourrait éloigner les citoyens de la réalité ; une dépendance excessive à des experts ou des conseillers, au détriment de la transparence. Tao rappelle que face à cette situation le risque de confondre politique et marketing, où l’électeur devient un simple “client” n'est pas loin.
Après échange, le président Tao Hamia Ndacknaye s'est résumé en ces termes, la politique et le management partagent des principes et des pratiques similaires, et leur interaction est essentielle pour le bon fonctionnement des sociétés et des organisations. Les compétences en management peuvent être particulièrement précieuses pour les responsables politiques, tout comme une compréhension des enjeux politiques est importante pour les managers opérant dans des environnements influencés par la politique.
S'exprimant à l'occasion, Tao Hamia Ndacknaye a indiqué que le management n'est rien d'autre que diriger, organiser, conduire. Ainsi parler de management politique c'est avoir recours plusieurs composantes clés qui permettent d’organiser efficacement l’action politique, que ce soit dans une campagne électorale ou dans l’exercice du pouvoir. Pour lui, réussir à manager une action politique ou un parti politique, il est nécessaire d'avoir une stratégie politique: savoir communiquer autour de la vision qu'incarne le parti, se doter d'une ressource humaine qualitative et quantitative capable de s'adapter à des crises que le parti aura à gérer.
Tao Hamia Ndacknaye a soigneusement pris le temps pour dégager le lien qui existe entre le management et la politique. Selon lui, la politique met en œuvre des programmes, des réformes, des campagnes… comme autant de projets à gérer, or, le management apporte les outils nécessaires à savoir la planification, coordination, suivi, évaluation.
Situant le contexte, il souligne que les dirigeants politiques cherchent à atteindre des résultats mesurables (baisse du chômage, amélioration du système de santé, réduction des inégalités…), tandis que le management avec ses indicateurs de performance, aide à suivre les progrès et à prendre des décisions basées sur des données fiables, a démontré l'exposant.
Toutefois, l'exposant a déconseillé l'assistance sur les mauvais côtés du management politique. Selon lui, il ne suffit pas d'avoir trop d'outils de management politique. Il a cité en exemple: trop de technicité, pas assez de vision humaine; une communication trop contrôlée pourrait éloigner les citoyens de la réalité ; une dépendance excessive à des experts ou des conseillers, au détriment de la transparence. Tao rappelle que face à cette situation le risque de confondre politique et marketing, où l’électeur devient un simple “client” n'est pas loin.
Après échange, le président Tao Hamia Ndacknaye s'est résumé en ces termes, la politique et le management partagent des principes et des pratiques similaires, et leur interaction est essentielle pour le bon fonctionnement des sociétés et des organisations. Les compétences en management peuvent être particulièrement précieuses pour les responsables politiques, tout comme une compréhension des enjeux politiques est importante pour les managers opérant dans des environnements influencés par la politique.